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Jurassic Park - Michael Crichton


Parution : Novembre 1990

Editions : Pocket

Pages : 512

Genre : Science fiction, thriller

Suite : Le monde perdu


Synopsis


Isla Nublar. L'armée doit venir « faire le ménage ». Le programme dont cette île est le théâtre avait pourtant tout du paradis scientifique : un immense complexe naturel où s'ébattent, aux yeux de tous, les plus féroces sauriens du Jurassique, génétiquement ramenés à la vie...

Quelques jours avant le chaos, le paléonthologue Alan Grant et Ian Malcolm, le mathématicien de renom, embarquent pour ce bout de terre perdu au large du Pacifique. Bientôt, le petit groupe invité par le créateur du parc doit se rendre à l'évidence : au cœur d'une jungle primitive et hostile, l'être humain n'est plus l'espèce dominante, mais la proie...


Mon avis


Tout d'abord, J'ADORE le film Jurassic Park ! Il est l'un de mes préférés ! Pourtant il était épouvantable à regarder quand j'étais petite... Mais bon, quand le grand frère est là on sait que les dinosaures ne nous atteindront jamais. C'est assez tard que j'ai pu le regarder seule sans crainte, avec une voracité telle que je me le suis parfois mis en boucle. Carrément ! Je me devais donc de lire le roman à un moment ou à un autre. Je me suis donc mise à fouiller les étagères des librairies avec une minutie digne d'un archéologue pour que ce soit mon meilleur ami qui le trouve à ma place. Son regard disait : "Il était là depuis toujours en fait... " Bref !


L'histoire est, évidemment, connue d'un très large public. Je vais tout de même la rappeler :

John Hammond, petit papy-gâteaux mais pas gâteux pour deux sous...

Je me suis surpassée pour celle-là !


Donc John Hammond, vieux milliardaire, totalement cupide, qui ne sait que faire (j'ose pas utiliser de mot grossier... Oh et puis mince : qui ne sait que "foutre", sans déconner !) de son argent, décide de jouer les gentils petits chimistes avec une équipe de scientifiques séléctionnés pour leurs compétences (et leur inconscience, surtout) dans le domaine de la génétique, pour gagner un pari fou : créer la plus grosse réserve naturelle de dinosaures au monde.

Normalement là, on doit déjà se dire : "Hummm... Ca pue."


Evidemment, pour pouvoir ouvrir son parc au public, il lui faut le faire évaluer par des experts : deux paléonthologues, un mathématicien et un avocat totalement cupide, qu'il invitera, avec ses petits-enfants (avec les gosses c'est plus rigolo), pendant un week-end entier sur son île.

Problème : les dinosaures sont des animaux d'un autre temps, d'une autre Terre que notre actuelle. Rien n'est adapté à ces géants.

Donc, Hammond, qu'on se le dise : ton plan, il pue le fric mais surtout les gros problèmes !


Dans l'équipe de papi-gâteaux, un programmateur chargé du système informatique de sécurité du parc, totalement cupide (décidemment) du nom de Dennis Nedry, mettra en l'air l'éléctricité dans le parc pour filer des embryons de dinos au représentant d'un cabinet scientifique concurrent en échange d'un gros chèque. Il coupe donc l'électricité juste 5 minutes. Juste le temps de donner les embryons...


Juste le temps que les dinausores visitent le parc...


Michael Crichton... Comment te dire que tu as eu une idée de génie. Cette histoire est complètement folle ! Si folle que dans le domaine de l'impossible on se dit que : "Et pourquoi pas ?" Je trouve que c'est d'un réalisme saisissant ! Evidemment les puristes diront que c'est impossible, que c'est n'importe quoi, les dinosaures ne peuvent réexister... Mais pour ma part, c'est un faux qui sonne vrai ! J'ai atterri sur cette île avec nos experts et j'ai vu les raptors nous attaquer ! Les vélociraptors sont définitivement mes personnages préférés dans ce roman. D'une terrifiante intelligence, il parraît impossible de les duper. Ils m'ont tellement hanté que j'avais l'impression de les voir partout ! C'est pour ces raisons que je les ai particulièrement affectionné. Des montées d'adrénaline me sont parvenues durant ma lecture, j'avais envie de prendre mon temps et savourer ce livre mais mon envie de vivre la suite contredisait ma patience. Premier tome d'une duologie, je le considère comme un one-shot, sans pour autant affirmer que je ne lirai pas un jour sa suite. J'ai eu un véritable coup de cœur pour ce roman qui restera, je pense, l'une des références que je recommanderai le plus passionnément.

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